Welcome to my home! [Appart de Héloïse Lemon.]

Welcome to my home!

De belles étagères blanches parcourait son appartement ainsi qu'un lit dans sa chambre. Des couleurs clairs, au parquet brillant, cet appartemen convenait à Héloïse. Une petite télévision était plaçée sur une petite table en bois. Juste devant un gros divan orange permettait de regarder des émissions tranquillement et confortablement, bien sûre. Une tonne de films était rangés en ordre alphabétique en dessous de l'écran et pas que des DVD!

D'ailleurs, Héloïse venait de finir de les classer. Une récompense s'imposait: Un bon sac de chips au sel et vinaigre. Melouum! Pourtant, Héloïse n'avait pas très faim. Elle reposa le sac et alla se couler un bain princier pour relaxer un peu. Elle lisait avec précaution un livre dans les mousses et lorsqu'elle en eut assez, elle sortit du bain, noua une serviette autour de son buste et alla ouvrir son ordinateur. Durant l'attente, elle alla se brosser les dents, 'habiller, se maquiller légèrement, se coiffa et souria devant son miroir. Cette journée allait être splendide.

Héloïse entendit un petit toquement. Elle se rua vers la porte et ne vit personne. Un peu déçue, elle tourna les talons.

Soudain elle eut son idée de génie de la journée: regarder dans la boite aux lettres!

Elle se retourna et fouilla rapidement dans la petite boite aux lettres verte foncée et vit... Sa carte fidélité dans le supermarché ou elle était venue plus tôt. Elle souria et pressa la petite carte sur sa poitrine. Héloïse soupira et rentra dans sa demeure.

Une longue soirée solitaire avait passée et Héloïse était partie se coucher assez tôt. Pourtant, l'odeur de son lit moelleux la réconfortait davantage que l'effet d'avoir eu une seule visite.

Alors qu'Héloïse se réveilla, elle bailla longuement. Que faire aujourd'hui? Partir travailler au PDC Hebdo? Aller manger un burger? Allez à la plage?
Le sentiment qu'il l'envahit était désagréable. Celui d'être toute seule. Héloïse rassembla ses forces pour se lever lentement. Un bon déjeuner avant tout et après on verra.

À peine Héloïse eut elle d'entamer sa première bouchée de crêpe, qu'elle entends un timide toquement. Elle se leva et ouvrit la porte. Surprise par la jeunesse de la jeune fille, elle souria et lança d'un ton jovial:

- Oui? Puis-je vous aider?

Peut-être c'était elle égarée ou simplement qu'elle s'était trompée de porte!

-Bonjour. Euh...Je viens d'arriver ici. Je ne connais personne, et j'espérais faire ta connaisance. Mais...je vois que vous êtes occupée, je ne veux pas vous déranger...
Les joues de Marion devenaient toutes rouges.

Étonnée, Héloïse ouvrit la bouche béate. Cette pauvre adolescente n'avait pas d'amies. Est-ce que ces parents savaient qu'elle était sortie? Héloïse souria à la jeune fille et l'invita à entrer:

-Tu ne me déranges pas, voyons! Pour ma première visite, c'est réussie. Je m'appelle Héloïse!

Elle tendit la main vers l'adolescente et lui serra la main.

- Tu veux manger avec moi? J'ai fait un peu trop de crêpes et je sens que si personne ne mange le surplus, je vais le manger... :D Assied-toi, je t'en prie! Mais avant... As-tu prévenue tes parents que tu serais ici? Car je ne penses pas qu'il approuveraient que tu sois ici ou enfin avec un adulte que tu ne connais pas.

-Merci mais, j'ai déjà déjeuné. Oh mes parents...à vrai dire...j'en ai pas.
Une larme coula sur la joue de Marion. Elle l'essuyait vite fais et dit :
-Au fait, je m'appelle Marion. J'ai 16 ans. Oui, je sais, c'est pas beaucoup...quels sont tes hobbies ?

Héloïse ne comprit pas tout de suite le sens que Marion employait... À savoir qu'elle était orpheline.

-N'as-tu pas de la famille qui vit ici?

Héloïse souria tristement et la poussa doucement vers sa cuisine.

- Ma chérie, il va falloir que tu goûte un petit bout de crêpe, si tu veux mon hospitalité.

Elle lui adressa un léger clin d'oeil et alla mettre un nouveau couvert sur la table. Elle mit la plus petite des crêpes, mit un peu de sirop et attendit que Marion s'assise.

HJ: Elle avait compris le sens. :D

Brusquement, Héloïse s'énerva elle-même.

-C'est un surnom affectif. Je n'ai jamais dit que je suis ta mère! Je voulais simplement savoir si tu avais de la famille qui vivait pas ici!

Un peu énervée, Héloïse s'assied et prit une grosse bouchée de crêpes.

Héloise fronça des sourcils et alla s'asseoir près d'elle.

- Marion... Les pleurs n'arrangeront rien. Ils peuvent te soulager, mais seulement, pleurer n'est pas toujours la bonne solution. Tu sais que j'habite juste à coté de toi. Tu peux compter sur moi, si tu as besoin de quoi que ce soit!

La jeune femme alla chercher des mouchoirs dans la salle de bain et les déposa sur les cuisses de Marion.

Héloïse se leva du fauteuil et souria à sa nouvelle jeune amie.

-Y'a pas de quoi!

Héloïse était un peu inquiète pour cette adolescente, mais elle savait qu'au moins elle aurait de l'aide. Elle ouvrit la porte et la laissa partir. En refermant la porte, elle se rendit compte qu'elle n'avait plus faim. Elle rangea délicatement le tout et fit un peu de ménage. Héloïse alla donc prendre une bonne douche chaude pour se rafraîchir les idées. Lorsqu'elle sortit de la douce embuée, elle eut l'idée du siècle. Aller à la forêt!

Elle se dépêcha de s'habiller, se maquiller et se peigner, puis partit pour la forêt.

Le lendemain matin, Héloïse revint quelque peu mouillée. Elle éternua et alla se chercher des mouchoirs. Avant tout: Un bain chaud. La jeune fille alla dans la salle de bain et tourna les robinets, celui d'eau chaude un peu plus. Elle enleva sa camisole jaune, puis le reste. Elle glissa son corps dans l'eau et souria de soulagement...

Héloïse sortit de la salle de bain 30 minutes après. Habillée d'un pygama en coton bleu, elle alla s'écrouler sur son divan orange et ouvrit sa DS. Elle prit un jeu au hasard et commença à y jouer avec férocité. Rapidement, Héloïse s'endormit, rêvant à Zac et elle.

Héloïse entendit un toquement. Lentement, elle se leva et alla ouvrir la porte, personne. La jeune fille remarqua un messge accroché à la porte. Elle décolla le morceau de ruban adhesif et posa les yeux sur le message. Lentement, elle alla s'assoird. En lisant la lettre, Héloïse souria et eut les larmes aux yeux.

Émue qu'elle est pensée à elle, Héloïse pressa contre sa poitrine le petite message. Elle soupira et alla jeter à la poubelle le message. Elle n'irait pas la voir. Elle n'avait plus besoin de son aide maintenant. Elle ne vendra pas non plus l'appartement, décida-t-elle. Au cas où, Marion voudrait revenir...

Héloïse s'asseya doucement sur le sofa, consciente qu'elle serait seule dans l'appartement maintenant. Elle ne connaissait personne, sauf Zac qui habitait un peu plus bas. Doucement, une larme se formit dans son oeil droit. Elle était seule. Pourquoi pas? Elle laissa les sanglots envahire son corps secoué de spasme. Combien de temps, s'avait-elle connue? 2 jours? Et elle ne l'avait pas aidée, comme elle le sous-entendait. Héloïse trouva soudain ridicule de pleurer pour rien... mais cela n'arrangera rien. Son regard rempli de larme se posa lentement sur sa chambre. Dormir... Cela arrangerait le tout.

Héloïse allait pour s'endormir quand elle entendit un faible toquement. Elle se releva et ouvrit lentement la porte. Elle vit Marion.

-Ohh. Salut.

Mal à l 'aise, Héloïse ne savait pas quoi dire.

Héloïse souria tristement.

-Je le sais.

Elle allongea les bras en signe de calin amicale.

Marion accepta le câlin tout de suite. Elle ferma les yeux pour encore plus profiter de ce moment entre amis. Elle relâcha Héloïse et dit :
-Dis Héloïse...je sais que tu n'aimes pas les chevaux mais...je pourrais peut-être t'apprendre ?

(Pas maintenant, car Marion est à l'hopital^^)

Héloïse a écrit:

Héloïse souria tristement.

-Je le sais.

Elle allongea les bras en signe de calin amicale.

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Ne pas répondre !

Héloïse relacha l'étreinte de Marion. Son sourire était maintenant parti dans un monde inconnu. Elle laissa place à un sourire triste. Avant de répondre, elle s'assied sur son divan et éternua.

- Je... Je n'aime pas les chevaux. J'en ai... très peur. Ma petite soeur a eu une commotion célébrale en tombant d'un cheval. Je suis désolé.

Héloïse renifla et prit un mouchoir pour se moucher. Elle ne voulait pas jeter sa jeune amie en dehors de l'appartement, mais elle devait dormir.

- Écoute, Marion...

Elle soupira longuement.

Thaïs arriva seule , pour voir sa jeune amie Heloïse .Elle toqua et entendit qu'elle avait Marion avec elle . Donc elle decida de partir et de laissez les jeunes femmes seule .Thais s'en alla quand la poorte s'ouvrit et qu'elle vit Heloïse en sortir.Elle avait son petit air triste

-Dé..Déso...Désolé.... J'ai du ...J'ai du me tromper de porte .... C'est ou la porte 29 ? dit t-elle en tremblant .

Elle partit a la recherche de l'appartement 29 quand elle croisa sa mére ....

que fait elle ici ?

[Thaïs, tu as définit l'action d'Héloïse, alors qu'on peut pas ;)]

Héloïse, je suis vraiment désolée. Mais tu vois...moi, je suis encore vivante ! Tu sais, tomber d'un cheval est souvent la faute du cheval même, mais moi je sais que j'ai une gentille juju.
Elle se tourna vers la porte. Elle voyait qu'Héloïse était fatiguée, alors elle dit :
Au revoir Héloïse. Tu viens à la maison quand ?

Héloïse fut surprise de sa vivacité à répondre.

-Euhh, bientôt. Lorsque j'aurai le temps. Tu sais, il faut que je règle un truc entre couple.

La jeune fille fît un jolie clin d'oeil à la demoiselle et la raccompagna jusqu'à la porte. Se tenant brusquement sur la porte, elle avait l'air d'être une droguée.

-Merci de ta compréhension, entouca!

Héloïse la laissa partir et traina les pieds jusqu'au lit ou elle s'applatît comme une crêpe pour un royaume au voyage des songes.

Thaïs arriva 2jours plus tard car elle n'etait plus sortit . elle toqua et attendit .pui elle vit la porte s'ouvrire .
-Ha Héloïse pourquoi tu sort plus ?
elle vit qu'elle etait fatiguée .
-Ta bu ?